Nouveaux membres à la Présidence du Centre Jura, vot. fédérales
14 mai 2024 – Réunis en Congrès mardi soir à Glovelier, les membres et sympathisants du Centre Jura ont avalisé les nouvelles arrivées au sein du Comité directeur.
Le président Mathieu Cerf a informé des départs d’Eric Dobler (Haute-Sorne), Guy
Jubin (Alle), Marcel Meyer (Porrentruy), Alexis Pelletier (Les Breuleux), Laurent Steulet
(Val Terbi) et Gabriel Willemin (Delémont). Il a chaleureusement remercié les anciens
membres de la Présidence pour leur précieux engagement et l’immense travail
accompli.
C’est sous un tonnerre d’applaudissements que le Congrès du Centre Jura a plébiscité
ses nouveaux dirigeants et les a acclamés. Dans le détail, les nouveaux visages de la
Présidence du Centre Jura sont les suivants : Clément Piquerez (Moutier) accède à la
vice-présidence du parti, alors que Gauthier Corbat (Vendlincourt), Marco Frésard (Le
Bémont), Anne Froidevaux (Châtillon), François Monin (Haute-Sorne), Lisiane Poupon
(Delémont) et Stéphane Theurillat (Porrentruy) deviennent nouveaux membres du
Comité directeur.
Sandra Hauser (Delémont) secrétaire générale du Centre Jura, Amélie Brahier (Les
Enfers) et Anne Roy (Porrentruy) sont reconduites dans leurs fonctions respectives.
Les membres de la nouvelle Présidence seront en fonction jusqu’à fin 2025, après quoi
l’ensemble du comité directeur devra repasser par une élection pour la nouvelle
période qui débutera en janvier 2026. Cela afin d’être en adéquation avec la législature
cantonale.
Mathieu Cerf a présenté les étapes clés pour les prochaines années, étapes qui
serviront de base pour le développement futur du parti et les échéances électorales à
venir. La nouvelle équipe en place se réjouit de porter les valeurs du parti et de
travailler avec une grande motivation et une détermination sans faille.
2 OUI et 2 NON pour les objets fédéraux
Le Congrès a également profité de prendre position sur les objets fédéraux soumis au
vote le 9 juin prochain.Deux OUI ont été décidés pour l’initiative pour un frein aux coûts de la santé ainsi que
sur la loi sur l’approvisionnement en électricité. La première est jugée nécessaire par
les membres et sympathisants afin d’agir concrètement sur les coûts alors que la
seconde suit la stratégie de la Confédération en termes de sécurisation de
l’approvisionnement électrique et des énergies renouvelables.
Enfin, le NON l’a emporté sur l’initiative d’allègement des primes, qualifiée de trop
dangereuse pour les petits cantons comme le nôtre et sans incitation à la réduction
des coûts de la santé, et sur l’initiative « Pour la liberté et l’intégrité physique », jugée
beaucoup trop rigide, non avenue et aux conséquences incertaines.